Source : http://sante.lefigaro.fr/article/l-australie-sur-le-point-d-eradiquer-le-cancer-du-col-de-l-uterus/

Pierre Kaldy note en effet dans Le Figaro que « dans moins de 20 ans, l’Australie n’aura plus de nouveaux cas de cancer du col de l’utérus, se sont félicités des spécialistes du pays à la suite d’une étude épidémiologique pilote financée par le département de la Santé australien ».
Le journaliste explique que selon ce travail, « la proportion des femmes âgées de 18 à 24 ans porteuses des deux principaux types du virus responsables de la maladie a chuté de 23% à 1% entre 2005 et 2015 ! C’est le résultat d’une campagne de vaccination gratuite lancée depuis 2007 auprès des jeunes filles de 12-13 ans et depuis 2013 auprès des garçons dans les collèges ».

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Vous êtes né dans les années 1980 ? Vérifiez sur votre carnet de santé que vous êtes vacciné contre la rougeole. Il n’est pas trop tard, assurent les autorités qui alertent sur cette épidémie en pleine extension !

Source : Le Figaro, Le Parisien

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Source : https://www.vidal.fr/actualites/22597/vaccins_monovalents_contre_l_hepatite_b_engerix_b20_et_hbvaxpro_10_de_retour_en_pharmacie/

 

Après un an de perturbations, les vaccins monovalents contre l’hépatite B ENGERIX B20 et HBVAXPRO 10 sont à nouveau distribués dans les pharmacies de ville françaises.

Concernant ENGERIX B20, la remise à disposition est progressive depuis la première semaine de mars 2018.
La distribution de HBVAXPRO 10 a repris normalement depuis le 1er mars 2018.

La rétrocession de ces vaccins par les pharmacies à usage intérieur est maintenue jusqu’à la fin du premier trimestre 2018.

Dans ce contexte de remise à disposition normale, les adaptations de la stratégie vaccinale applicables pendant la pénurie ont été levées.

La vaccination contre l’hépatite B est notamment obligatoire pour tous les professionnels de santé, les salariés des hôpitaux et des cliniques ainsi que les étudiants se préparant à l’exercice des professions suivantes : médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens, sages-femmes, infirmiers, kinésithérapeutes, pédicures-podologues, manipulateurs d’électroradiologie, aides-soignants, ambulanciers, auxiliaires de puériculture, techniciens en analyses biomédicales et assistants dentaires.

Source : Rougeole : 913 cas et 1 décès, les autorités en appellent aux médecins pour endiguer l’épidémie

 

Les autorités sanitaires tirent la sonnette d’alarme : la multiplication des cas de rougeole fait craindre une épidémie nationale en France, semblable à celle qu’elle a connue entre 2008 et 2012 (24 500 cas a minima, 1 500 pneumonies graves, 35 encéphalites, 20 décès).

Depuis le 6 novembre 2017, date de début de l’épidémie en Nouvelle-Aquitaine, et le 12 mars 2018, 913 cas de rougeole ont été déclarés. Près de 9 cas sur 10 sont survenus chez des personnes non ou incomplètement vaccinées.

Une accélération depuis 3 semaines

Parmi les 913 cas, 201 (près d’un quart) ont été hospitalisés, dont 9 en réanimation. Un décès est survenu en février, à Poitiers : celui d’une jeune femme non vaccinée. Ce qui porte à 21 le nombre de décès dus à la rougeole depuis 2008 (parmi eux, 8 personnes étaient immunodéprimées – avec contre-indication à la vaccination). La rougeole est l’une des pathologies les plus contagieuses, un cas pouvant contaminer 15 à 20 personnes dans une population non immunisée.

« Plus de 90 % des 913 cas sont apparus en 2018 ; il y a eu une accélération ces trois dernières semaines, avec près de 46 % d’augmentation des cas par rapport à l’incidence de début novembre », a souligné le Dr Daniel Levy-Bruhl, responsable de l’unité Infections respiratoires et vaccination de Santé publique France. Il insiste sur la dissémination du virus : si fin 2017, les cas se concentraient aux 3/4, en Nouvelle-Aquitaine, cette région ne rassemble que la moitié de ces cas ; 59 départements sont touchés, en particulier en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Bretagne, et dans les Pays de la Loire.

Les nourrissons payent le prix d’une couverture vaccinale insuffisante

Les nourrissons de moins d’un an sont les populations les plus touchées (taux d’incidence de près de 8 pour 100 000 cas) : « Ils ne peuvent pas être vaccinés ; ils paient le prix du défaut de vaccination de leur environnement », explique le Dr Levy-Bruhl. La rougeole frappe particulièrement les 1-4 ans (près de 6/100 000), « ce qui reflète leur insuffisante vaccination », ainsi que les jeunes adultes (de 15 à 30 ans), « du fait du rattrapage insuffisant de la vaccination pour cette tranche d’âge ».

La vaccination contre la rougeole, fortement recommandée jusqu’au 1er janvier 2018, fait désormais partie des 11 vaccins pédiatriques obligatoires.

« L’élimination de la rougeole est un objectif prioritaire de l’Organisation mondiale de la santé ; pour cela il faut atteindre l’objectif d’une couverture vaccinale de 95 % pour les personnes à risque », a rappelé le Pr Jérôme Salomon, directeur général de la santé (DGS). La protection conférée par la maladie est efficace pour un individu, mais seule l’immunité collective fait barrière à un virus, a-t-il indiqué.

En France, la couverture vaccinale est de 90,5 % pour les moins de deux ans (selon les données 2014). Le seuil des 95 % est atteint pour les enfants de 6 ans, mais pas pour la deuxième dose, qui concerne 79 % des enfants de deux ans, 83 % des six ans, et 93 % des 11 ans (la deuxième dose protège la quasi-totalité des 8 % des non-répondeurs à la première dose). Sans oublier les inégalités territoriales derrière ces moyennes : la couverture vaccinale pour la seconde dose varie de 62 à 88 % selon les départements.

Pour les jeunes adultes, l’étude de séroprévalence de 2013 montre un taux de personnes sans anticorps protecteurs de 9,2 % soit plus d’un million d’individus.

Source : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/03/08/letude-qui-rassure-sur-limpact-des-vaccinations-sur-le-systeme-immunitaire-des-enfants_855861

Les enfants qui reçoivent des vaccinations multiples ne présentent pas davantage d’infections (autres que celles couvertes par la vaccination), que ceux qui sont moins vaccinés. Ce qui signifie que le système immunitaire des enfants vaccinés n’est pas affaibli. C’est ce que vient de prouver une étude américaine publiée dans le « JAMA ».

Dans le même numéro, un éditorial rappelle qu’aux États-Unis, une étude datant de la fin des années 1990 avait montré que 25 % des parents craignaient que trop de vaccins n’affaiblissent le système immunitaire de l’enfant, et que 23 % pensaient que leurs enfants recevaient trop de vaccins. « Ces inquiétudes ont augmenté avec le temps et « trop, trop tôt » est devenu une antienne chez les antivax », poursuit l’éditorial. Entre 1994 et 2010, le nombre de vaccins compris dans le calendrier vaccinal américain est en effet passé de 8 à 14.

C’est pour répondre à ce type d’inquiétudes que l’Académie nationale de médecine des États-Unis avait appelé en 2013 à une augmentation de la recherche sur la sécurité vaccinale. Une demande à laquelle une équipe de chercheurs de l’Institut de recherche en santé Kaiser Permanente, au Colorado, a répondu par cette étude.

Évaluation du nombre d’antigènes

Les chercheurs ont inclus dans leur étude, de façon randomisée (à partir d’un panel de 495 193 enfants, dont 47 061 avaient présenté des infections) 193 enfants, nés entre 2003 et 2013, ayant présenté une infection respiratoire haute ou basse, gastro-intestinale ou d’autres infections virales ou bactériennes (otite, bronchiolite, pneumonie, croup ont ainsi été pris en compte) les ayant conduits aux urgences ou à être hospitalisés, entre l’âge de 24 et de 47 mois. Ils les ont comparés avec un groupe contrôle de 751 enfants n’ayant pas présenté ce type d’infection. Les enfants présentant une contre-indication à la vaccination avaient été exclus. Les chercheurs ont par ailleurs évalué le nombre d’antigènes auxquels ces enfants avaient été exposés par la vaccination entre 6 semaines et 23 premiers mois de vie.

Cette exposition aux antigènes n’était pas corrélée à un risque plus élevé d’infections dans les deux années de vie suivantes. En effet, la moyenne d’antigènes auxquels les enfants étaient exposés dans leurs deux premières années de vie était de 240,6 pour les enfants ayant présenté par la suite une infection, et de 242,9 pour ceux n’en ayant pas présenté – une différence non statistiquement significative.

« Certains parents sont inquiets que des vaccinations multiples dans la petite enfance puissent endommager le système immunitaire de l’enfant, le rendant plus sensible à de futures infections. Cette nouvelle étude suggère que la théorie de la surcharge immunitaire est très improbable », indique Jason Glanz, auteur principal de l’étude. « Les parents ont d’authentiques inquiétudes à ce sujet. Nous espérons que cette étude fasse la lumière à ce propos, et aide les parents à mieux comprendre la sécurité et les bénéfices de la vaccination sur le long terme. »

La société Orange nous impose une coupure de téléphone et d’internet le 27 et le 28 décembre.

Nous n’aurons donc pas accès à vos résultats d’analyse.
De même, il ne sera pas possible de nous contacter par téléphone directement, mais la ligne sera transferrée vers notre télésecrétariat qui se chargera de prendre les rendez-vous.

Merci d’apporter votre dernière ordonnance ainsi que vos derniers résultats d’analyse en papier, et de privilégier la prise de rendez-vous par le site internet plutôt que par le téléphone.

A partir du 2 janvier 2018, le cabinet médical déménage 40 BIS RUE DU REBAU.

 

Avec nos excuses pour ce dérangement indépendant de notre volonté, l’équipe du cabinet médical de Montblanc vous souhaite ses meilleurs voeux pour cette fin d’année 2017.

Dans un communiqué diffusé le 24 novembre, l’ANSM rappelle qu’ « aucun médicament homéopathique ne peut être considéré comme un vaccin », ni comme un « vaccin homéopathique ».

Ce rappel est lié en particulier aux similitudes d’indication et de période de traitement entre plusieurs produits homéopathiques et les vaccins, similitudes à risques de confusion. L’un de ces produits est même une version ultra-diluée du vaccin annuel, ce qui entraîne une fausse appellation de « vaccin homéopathique » et augmente encore le risque de confusion.

Cette mise au point de l’ANSM fait suite à un avis récent du Conseil supérieur d’hygiène publique de France qui relève ce risque de confusion et les conséquences sanitaires susceptibles d’en découler. Le Conseil supérieur d’hygiène publique de France considère que l’utilisation des médicaments homéopathiques à la place du vaccin anti-grippal constitue une perte de chances, notamment chez les personnes à risque de complications.

Plus d’informations dans la suite de cet article : VIDAL – Prévention de la grippe : il n’existe pas de « vaccin homéopathique », rappelle l’ANSM

Le Dr CADARS sera en congés du 30 octobre au 3 novembre et sera remplacé par le Dr Françoise JASTROWICZ.

Le Dr ZELER sera en congés du 2 au 6 novembre et ne sera pas remplacé. Il sera en revanche présent au cabinet exceptionnellement mardi 31 octobre.

Le Dr CADARS, le Dr MARIOTTE et le Dr ZELER continuent à être remplacés un jour chacun par semaine par le Dr JASTROWICZ durant tout le mois d’octobre et novembre.

La liste exacte (et régulièrement mise à jour) des congés et remplaçants est disponible à cette adresse : https://calendrier.cabinet-montblanc.fr

Le Levothyrox, médicament pour l’hypothyroïdie fabriqué par le laboratoire Merck, a changé de formule en mars dernier.

Il y a quelques jours, les médias et le gouvernement ont annoncés que des boîtes de Levothyrox ancienne formule avaient été remises en vente sous le nom « Euthyrox ».

Seulement 130 000 boites étaient disponibles dans toute la France, soit entre 5 et 6 boîtes par pharmacie, tous dosages confondus, ce qui ne représente même pas 1 boite par dosage par pharmacie c’est-à-dire : quasiment RIEN.

Nous marquons bien « étaient disponibles », car les pharmaciens de Montblanc viennent de nous confirmer que le stock d’Euthyrox (le Levothyrox ancienne formule, donc…), avait déjà été écoulé… partout !

A priori, cet Euthyrox était une solution transitoire et il n’y aura pas d’autres stocks de cette spécialité.

Le laboratoire Sanofi devrait proposer sa formule de Levothyrox le mois prochain, qui reprendra la même formule que le Levothyrox avant mars 2017 (et que l’Euthyrox). Cependant, « changer pour rechanger » risque d’etre plus pertubant qu’autre chose.

Nous vous rappelons que le changement n’est ni obligatoire ni nécessaire si vous prenez du Levothyrox nouvelle formule et tout va bien pour vous. Dans ce cas, vous pouvez garder la nouvelle spécialité.

Dans le cas contraire, pensez à bien faire doser la TSH et la T4L au laboratoire afin de vous assurer que vous n’êtes pas trop ou trop peu dosé, et il faudra peut-être essayer d’autres formes de lévothyroxine lorsque celles-ci seront mises sur le marché, d’ici un mois (ou plus).

Plus d’informations sur ces sites :

A lire sur Le Quotidien du Médecin : https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2017/09/18/epidemie-de-rougeole-en-italie-pres-de-4-500-cas-dont-3-deces-chez-des-non-vaccines-en-2017_850383

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