Pour éviter les disparités d’ordre technique et répondre aux besoins des patients dépourvus de moyens de connexion en vidéo, le ministre de la Santé a autorisé la réalisation de ces consultations par téléphone.
Cette récente décision s’ajoute à diverses mesures intervenues en mars, pour faciliter l’accès à cet acte de télémédecine.